Le pain noir
À propos
Comme le veut la tradition, en octobre, on allume les fours dans les villages pour faire cuire le pain noir.
Chaque four a ses propres recettes transmises de génération en génération.
Les fours de Cerellaz et Runaz participent à la Fête Transfrontalière Lo Pan Ner.
LE FOUR DE RUNAZ
Autrefois, dans le village de Runaz, il y avait 4 fours appartenant tous à des particuliers. Les familles de la fraction les utilisaient pour la cuisson du pain destiné à leur consommation. La farine utilisée provenait des champs de seigle et de blé que toutes les familles possédaient à cette époque. Le pain se faisait au mois de décembre.
Vers les années 1960, ces fours furent fermés. Dans les années 80, à la suite de l’achat de l’ancienne maison Vauthier près des écoles primaires, la commune fit construire un four pour permettre aux habitants de poursuivre l’activité de cuisson du pain.
Encore aujourd’hui quelques familles de la fraction utilisent, pendant les mois d’hiver, ce four qui a une capacité de 30-40 pains. Certains d’entre eux maintiennent la tradition du vrai pain noir en n’utilisant que de la farine de blé et de seigle provenant de leurs champs.
Chaque four a ses propres recettes transmises de génération en génération.
Les fours de Cerellaz et Runaz participent à la Fête Transfrontalière Lo Pan Ner.
LE FOUR DE RUNAZ
Autrefois, dans le village de Runaz, il y avait 4 fours appartenant tous à des particuliers. Les familles de la fraction les utilisaient pour la cuisson du pain destiné à leur consommation. La farine utilisée provenait des champs de seigle et de blé que toutes les familles possédaient à cette époque. Le pain se faisait au mois de décembre.
Vers les années 1960, ces fours furent fermés. Dans les années 80, à la suite de l’achat de l’ancienne maison Vauthier près des écoles primaires, la commune fit construire un four pour permettre aux habitants de poursuivre l’activité de cuisson du pain.
Encore aujourd’hui quelques familles de la fraction utilisent, pendant les mois d’hiver, ce four qui a une capacité de 30-40 pains. Certains d’entre eux maintiennent la tradition du vrai pain noir en n’utilisant que de la farine de blé et de seigle provenant de leurs champs.
https://www.lovevda.it/it/banca-dati/2/eventi-enogastronomici/valle-d-aosta/lo-pan-ner-i-pani-delle-alpi/60017
LE FOUR DE CERELLAZ
L’actuel four de Cerellaz est situé au centre du village. Il a été construit dans les années 70 après la démolition de l’ancien four avec le passage de la route régionale Avise-Cerellaz en 1969.
Le four a une capacité de 80-90 pains et chaque année, pendant la période de Noël, il est rallumé pour la cuisson du pain. Comme autrefois, les familles de la fraction continuent à l’utiliser en respectant leur propre tour d’allumage. Chaque année, en effet, c’est une famille différente qui commence la période de cuisson, en s’occupant de choué lo foo, de chauffer le four, et de nettoyer les pièces. Cette organisation par équipes, qui tient compte de la disposition des maisons du village, s’est transmise au fil des ans, permettant la répartition des frais d’allumage entre les différents utilisateurs du four.
LE FOUR DE CERELLAZ
L’actuel four de Cerellaz est situé au centre du village. Il a été construit dans les années 70 après la démolition de l’ancien four avec le passage de la route régionale Avise-Cerellaz en 1969.
Le four a une capacité de 80-90 pains et chaque année, pendant la période de Noël, il est rallumé pour la cuisson du pain. Comme autrefois, les familles de la fraction continuent à l’utiliser en respectant leur propre tour d’allumage. Chaque année, en effet, c’est une famille différente qui commence la période de cuisson, en s’occupant de choué lo foo, de chauffer le four, et de nettoyer les pièces. Cette organisation par équipes, qui tient compte de la disposition des maisons du village, s’est transmise au fil des ans, permettant la répartition des frais d’allumage entre les différents utilisateurs du four.